Requiem Rpg
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Chaque humain meurt un jour. Voyez cela comme la fin de votre cauchemard... Ou plutôt comme le début d'un autre mauvais rêve...
 
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 Anoen Validran

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Anoen Validran
beauté aux épines acérées
Anoen Validran


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MessageSujet: Anoen Validran   Anoen Validran Icon_m14Mer 8 Aoû - 14:48

Nom humain : Validran

Prénom humain : Rose

Surnom posthume et explications :
Anoen.

Anoen fut le nom d’une déesse d’une lointaine civilisation nordique, selon la légende elle fut bannie de son royaume par jalousie de ses sœurs qui enviaient sa popularité envers son peuple de créature. Etant une des déesses de la nature,elle décida, dans sa misérable cellule, de recouvrir les murs de plante si bien que le monde souterrain se vit envahit par cette soudaine végétation. De part la tristesse de la déesse de ne plus exercer son droit de liberté, aucun feu n’a pu brûler les plantes enracinées dans les murs. Le roi des dieux mit fin alors à son calvaire et la libéra, pourtant la végétation persista à pousser…
Jusqu’à ce que, là où Anoen avait posé ses mains, naisse des roses…

Age au moment du décès : 19 ans.

Sexe : Féminin
Histoire :

Tandis que le crépuscule gagnait le ciel, les faibles lumières qui pouvaient encore faire penser que Fallbrooks était habitée s’éteignaient une à une. Le peu qu’il restait de la ville s’endormait au rythme des cloches retentissantes de l’église postée comme une sentinelle au dessus de Miston Hill. C’est le moment qu’attendait Mike Debhalen, Charlie Tomback et Danny Sonfield pour monter la côte dans leur camion jusqu’à l’église où le père Canahan les attendait de pied ferme. Ils plaisantaient souvent sur le «padre» mais ils restaient malgré tout respectueusement muets face à cet homme. Il payait bien, c’est tout ce qui comptait pour eux.

« Combien ? » S’enquit Canahan
une fois que les hommes mirent pied à terre.
« Une dizaine ». Répondit
rapidement Mike.
Le sourcil du «padre» se haussa et il soupira demécontentement.

« J’attendais mieux messieurs. » se contenta-t-il
de répliquer froidement.

Danny déglutit péniblement, il avait une trouille bleue de
ce type.

«Mettez-les dans le trou.»

Il se décala légèrement, laissant apparaître sa calvitie
naissante et une main frêle et ridée de sa tunique noire. Il tendit le bras et
désigna au-delà des portes, au milieu de la nef, un immense trou noir d’où
sortait une forte odeur de pourriture ainsi que quelques gémissements.

Danny et Charlie déchargèrent la première caisse traînée
devant Canahan. Mike s’empara du pied de biche sur la banquette du camion et
revint au petit trot. Il glissa le pied sous le couvercle et donna un grand
coup. Sous la force du levier, la porte de la caisse céda. Au fond cinq formes
se recroquevillaient, éblouies par la lumière qu’elles n’avaient pas vue depuis
quelques semaines. Charlie s’avança pour prendre la première sans ménagement.

« Tiens toi droite. » ordonna-t-il à voix basse,
et le corps décharné se redressa immédiatement.

Canahan dévisagea rapidement la femme, les joues creusées, les cheveux roux en bataille, ses côtes visibles et sa poitrine trop plate àson goût lui donnaient la nausée. D’un signe du menton il désigna la formenoire à quelques mètres et Charlie n’eu d’autres choix que de la balancer dedans. Un cri suivi puis le bruit d’un os brisé, probablement une de ses
jambes…

Les femmes capturées défilèrent une à une jusqu’à ce quedeux d’entre elles retiennent son attention. Toutes les deux pourvues d’unelongue crinière brune, elles se ressemblaient étrangement. Seul point qui permettait de vraiment les différencier dans la pénombre des bougies : leurs yeux. L’une les avaient bleu cristal tandis que l’autre les avaittellement foncés qu’ils apparaissaient noirs comme l’ébène. Les lèvres du curés’étirèrent en un large sourire.

« Il n’y en a pas beaucoup mais vous en avez dégotées
deux de choix. Voici pour vous !»

Il lança aux trois hommes une grosse enveloppe kraft et ceux-ci s’empressèrent de détaler. Canahan rigola légèrement puis s’afféra à repositionner la dalle de pierre sur le trou.Les jeunes filles étaient terrifiées, incapables de bouger pourtant rien ne les
empêchait de rester, le visage fièrement levé et de regarder le père Canahan
droit dans ses petits yeux. D’ailleurs cela le ravi.

« Quels sont vos noms mes jolies? »

La première à répondre fut la fille aux bleus, sans ciller,
son apparence reflétait un sang froid débordant mais le ton de sa voix
paraissait beaucoup moins sûr.

«Daryâ. »
« Daryâ… et toi ? » lanca-t-il à présent à la
deuxième.
«Rose.»
« Comme c’est charmant… vraiment charmant.»

Vieux cochon, pensa Rose. Un instant elle souhaita s’enfuir
mais un rapide coup d’œil derrière elle l’informa que les hommes avaient refermé les gigantesques portes. Elle étouffa un juron avant que Canahan neleur tende des robes de religieuses.

«Allez dormir un peu, vos chambres se trouvent après
la porte à droite de l’autel.»

Où est-ce qu’elles étaient tombées? Arrivées dans leur chambre, Rose et Daryâ enfilèrent des sous-vêtements et se surprirent à apprécier le lit que lui offrait leur geôlier. Elles n’avaient plus compté les jours passés dans cette caisse après l’enlèvement. Ou plutôt arrangement. Les jeunes filles travaillaient toutes deux dans un cirque qui était de passage le long des villages de la route 15. Le cirque en faillite avait besoin de gros moyens financiers pour se remettre d’aplomb. Le chef a dû se séparer de quelques uns de ses membres pour bénéficier du don généreux d’un homme inconnu.
Parmi les vendus figuraient Daryâ et Rose, lanceuses de couteaux.




Les jours passèrent, le père Canahan s’occupait à merveille de ses
protégées en échange de quelques faveurs, ménagères ou sexuelles. Daryâ sefaisait un plaisir de lui obéir consciente qu’elle n’avait pas d’autre endroitoù aller. Mais il en était tout autrement pour Rose qui s’acharnait à tenirtête à l’homme d’église. Les livraisons de femmes continuaient, d’après ce que Rose avait retenu, il y’en avait environ une tous les mois. Et juste avant c’était bien entendu le grand nettoyage de la fosse, le plus répugnant travail qu’elle eut à faire dans sa vie.
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Anoen Validran
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MessageSujet: Re: Anoen Validran   Anoen Validran Icon_m14Mer 8 Aoû - 14:54

Les cadavres amoncelés dans un coin du cachot dégageaient une odeur de putréfaction lancinante. Plusieurs fois elle rendit son plat de la veille en descendant à l’intérieur.
Les disputes devenaient de plus en plus fréquentes entre elle et Daryâ qui soutenait qu’elles avaient une chance inouïe d’être tombées sur un tel homme de foi.

«Je ne supporterai plus ton insolence! »avait hurler un jour Canahan.

Qu’il ne la supporte plus, Rose n’en avait strictement rien à faire, tout ce qu’elle voulait c’était le pousser à la faire partir de cet endroit glauque. Ce qui arriva cette fois là. Le curé la prit par les cheveux et la traîna jusqu’à sa vieille Dodge. Au lieu de se plaindre de la douleur, Rose ne fit qu’admirer le paysage extérieur. Elle le voyait pour la première fois depuis des mois, elle respira à plein poumon cet air frais qui s’engouffrait à nouveau en elle.
Au contrebas de la colline s’alignaient sagement les maisons de Fallbrooks, blanches, bleues ou roses, chacune abritait une petite famille pieuse loin de s’imaginer que le curé qui les lavait régulièrement de leurs péchés se livrait à un génocide. Rose ne savait pas combien de temps ils avaient roulé, sa destination l’importait peu. Au loin la ville de Sunbury exhibait fièrement ses tours de verre.

Silencieuse, la jeune fille ne perdait aucune miette du spectacle et encore moins lorsqu’ils entrèrent dans le centre-ville. Canahan stoppa le véhicule le long d’une ruelle ayant pour unique issue une lourde porte métallique.
Il frappa, tenant fermement Rose par le poignet et un colosse écarta le battant. Le géant chauve examina quelques instants le petit homme et la créature qui l’accompagnait puis leur laissa la voie libre. L’intérieur était somptueux, les murs recouverts de velours vermillon portaient sans gêne des tableaux magnifiques, les appliques de style western laissaient pendre de fins filaments ocre. Des dizaines de jeunes filles de l’âge de Rose tourbillonnaient autour d’eux, occupée de çà de là par des tâches ménagères. Une grosse femme se fraya un chemin au milieu de cette foule et se posta devant eux. Un grain de beauté artificiel décorait le haut de sa pommette droite tandis que la tonne de cheveux qu’elle avait sur la tête tenait par un miracle des plus étonnants. Sa voix, aussi grasse qu’elle ne s’adressa pas à Canahan mais directement à Rose.

«Quelle belle enfant! J’ai l’impression que tu as eu un problème avec elle Marcius.» Gloussa-t-elle avant de pincer les joues de la jeune fille.
«Oh quel regard! Un peu maigre, mais un si beau visage lorsque tu aura repris un peu de poids!»

Elle s’empara de la main Rose pour entamer une inspection minutieuse. Enfin elle en déduit qu’elle était parfaite pour sa maison. Canahan la mis en garde contre le caractère rebelle de Rose mais la grosse femme n’en fit cure. La jeune fille regardait autour d’elle, les autres étaient habillées très… légèrement.

«Hum… qui êtes-vous? » Osa-t-elle demander à son hôtesse qui était bien plus impressionnante que le vieux «padre».
Celle-ci partit d’un rire tonitruant, si fort que les cadres vibrèrent sous les ondes. Elle découvrit la pièce principale, un amas de poufs, de divans aussi rouges que les murs. A sa droite, un escalier invitait à monter à l’étage. Elles l’empruntèrent tandis que la femme se décida à lui répondre.

«On m’appelle Marcia, je tiens cette maison depuis la nuit des temps!» Puis elle repartit dans son horrible rire.
Rose sentait bizarrement oppressée dans cet air confiné, un peu trop chaleureux, elle apprit très rapidement à user de ses charmes. Le temps où elle voyageait sur sa roulotte lui manquait affreusement. Il se révéla que ce que Marcia appelait «maison» n’était qu’un bordel. Comme précédemment, elle eu rapidement des problèmes avec Marcia. Un soir elle prit Rose à part.

«Tu vois l’homme là-bas?»

Elle désigna un client entrain de discuter avec une charmante jeune femme à l’autre bout du salon.

«Je vais te le confier, il est assez spécial, il va te plaire j’en suis certaine.»

Rose réprima une grimace de dégoût en pensant à ce qu’elle allait subir une fois de plus. Son intimité violée, sa fierté bafouée… Lentement elle s’avança vers lui et glissa sa main dans la sienne pour le guider jusqu’aux escaliers. L’individu suivit sans rechigner, arrivés à la chambre il s’en suivit les éternelles caresses. Rose était raide comme un piquet, ce qu’elle ne savait pas c’est que Marcia lui avait confié ce gars là car il était terriblement dangereux. Plusieurs de ses filles avaient subi ses violences et quoi de meilleur pour se débarrasser de la jolie petite gênante?
L’homme commençait à s’impatienter, ses gestes devenaient plus ou moins désordonnés, Rose fermait les yeux.
Un...

Il la frappa violemment à la tête. Rose s’affaissa sur le lit en ayant l’impression d’avoir reçu un piano sur sa boîte crânienne.
Deux…

Elle comptait jusqu’à dix en espérant qu’il disparaisse, au lieu de cela une main lui agrippa la cheville et la traîna par terre. Une fois sortis de la chambre, le calme anormal qui régnait dans le salon la choqua. Qu’est-ce qu’ils attendaient pour venir l’aider? Ses cordes vocales refusaient de vibrer tandis que sa tête heurtait régulièrement les marches d’escaliers qu’ils descendaient.
Trois…

Rose croisa brièvement le regard faussement désolé de Marcia qui tenait sa petite croix serrée dans sa main graisseuse en psalmodiant au nom du christ.
L’homme la remit debout sans ménagement, ouvrit la petite porte par laquelle elle était entrée la première fois et balança Rose dehors. La jeune fille se retourna aussitôt. Elle voulait s’enfuir le plus loin possible de cet endroit et de ce psychopathe. Hélas sa longue robe pourpre entravait ses mouvements, la rattraper fut un jeu d’enfant.
Quatre…

«Laissez-moi !»
«Tais-toi chienne !»

La nuit était glaciale malgré ce bel été. Tandis qu’il parvint à la faire coucher, Rose lui asséna un coup de pied dans les côtes. L’homme poussa un cri de douleur puis se remit à la poursuite de la belle sirène.
Cinq…

Courir, Rose n’avait rien d’autre en tête, la respiration sifflante, ses jambes menaçaient de céder sous l’effort si soudain. Ses mains agrippaient tant bien que mal la robe quand, à son grand soulagement, des arbres apparurent de l’autre coté de la route. Elle se réfugia dans le parc, avec un peu de chance elle le sèmera parmi les buissons. Elle trouva le parfait petit bosquet, Rose s’agenouilla derrière prête à bondir à la moindre alerte.

A peine quelques minutes de passées qu’elle entendit un bruit sourd sur les graviers du chemin à quelques mètres d’elle. Les pas se rapprochaient, sûr d’eux, stoppant leur course de temps à autre à la recherche d’un quelconque craquement. Rose réprima un sanglot. Les pas s’arrêtèrent de nouveau. Elle porta une main à sa bouche.
Six…

L’instant d’après, elle se retrouva dans la fosse de l’église. Tout s’embrouillait, rien ne faisait penser que c’était effectivement le même endroit. Pourtant elle le savait, quelque chose avait changé. Peut-être que la pièce était plus claire, peuplée de roses poussant sur les murs.

«Alors tu le tue ou pas?»

Elle fit volte-face, dans un coin se tenait le monsieur Loyal du cirque entrain de lancer des couteaux sur Daryâ qui lui adressa un joyeux signe de la main.
Rose secoua sa tête.

«Tuer qui ?» le questionna-t-elle.
Sept…
«Ben le type qui t’a tué toi voyons! »
«Quoi?»

Rose était interloquée… morte? Assassinée de plus? Non elle devait rêver.

«Alors, je suis…morte c’est ça ?»
«Oui, répondit-il fièrement, pas encore enterrée mais ça va venir, c’est pour ça que tu dois te dépêcher de choisir si tu veux le tuer ou pas.»
Huit…
La tête lui tournait, elle prit appui sur le mur à coté d’elle quelques secondes. Bill s’approcha, l’air vraiment peiné. Rose releva la tête, il fallait se faire une raison, peut importe quelle était cette histoire de fou. On cherchait à la faire marcher, eh bien elle allait rentrer dans leur jeu. Un vague coup d’œil autour d’elle lui confirma qu’aucune caméra n’était dissimulée.

«Je peux vraiment le…tuer ?»
«C’est que je te dit depuis tout à l’heure! Je t’ai connue plus vive que ça jeune fille.»

La salle retomba à nouveau dans le silence, une fine brise agitait les cheveux de Rose. Ils n’avaient pas la même texture qu’auparavant, un liquide chaud et épais les imprégnait. Son cœur faillit rater un battement.
Du sang?
Neuf…
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Anoen Validran
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MessageSujet: Re: Anoen Validran   Anoen Validran Icon_m14Mer 8 Aoû - 14:56

Don : Amie des plantes de part son histoire ainsi que son surnom, Anoen peut accélérer la croissance de la végétation, la remanier d’un simple geste mais sa réelle spécialité est le parfum qu’elle en tire. Chaque plante qu’elle créé possède une particularité selon son humeur, sa fleur pourra avoir différents effets sur celui qui respire son parfum. La fleur étant la création d’Anoen, son odeur est également sur sa peau. Ainsi elle pourra prendre le contrôle plus ou moins total du corps de son adversaire, lui donner des envies particulières.


Description :



Physique :
Anoen est une jeune femme de type caucasienne, la peau blanche accompagnée d’un grain très fin lui donne cette allure douce que beaucoup ont enviée. Ses yeux de jais s’étirent en amande, un regard noir et pénétrant. Au dessous de son nez aquilin se pressent deux lèvres à peine charnues, la plupart du temps colorées d’un rouge ocre ou vif selon son humeur. Pour donner encore un peu plus de prestance à son visage fin, une magnifique crinière ébène ondulée l’encadre. Une mèche un peu folle se détache toujours de ses cheveux fins et lui retombe sur les tempes. Morte habillée de sa robe de soie, c’est ce vêtement qu’elle portera habituellement. Cette robe rouge également, ornée de fine dentelle noire au niveau du décolleté et de motifs raffinés et dorés, rappelle beaucoup les kimonos des geishas au temps des samouraïs. Mais Anoen l’échange volontiers parfois contre une tenue plus décontractée, un pantalon noir avec une coupe fine et un chemiser blanc cintré qui met en valeur ses formes.
Son corps est fin, assez bien proportionner.

Psychologique : C’est une femme au caractère bien trempé, chercher à avoir le dernier mot avec elle est une épreuve de force. Sa vente et son esclavage l’ont beaucoup fragilisée, sa vision des hommes a été grandement troublée par ce qu’elle a subi. D’une nature enjouée, elle aime faire de nouvelles rencontres, bien qu’elle puisse être naïve au début, Anoen se rend compte assez vite de la vraie nature des gens. La confiance est un principe sacré, c’est pourquoi elle ne l’accordera que très peu et ceux qui la trahissent ne la récupèreront sous aucun prétexte.

Autre :
Elle replace souvent sa mèche derrière son oreille, ayant été une lanceuse de couteaux, elle possède également une dextérité et une précision plus haute que la moyenne.



Vous :


As-tu besoin d’aide pour débuter ? : Non mais par contre un petit verre de genépi…


Présence : Oui présente assez souvent, et les réponses c’est selon l’inspiration mais généralement ca va vite ^^

Votre personnage : Tout est absolument fictif, aussi bien dans son histoire que l’origine de son nom. (Le nom vient de l’imagination d’Anoen, dont je n’ai jamais su le vrai prénom)

(Fiche terminée)
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Mantis-sama
Poussin-Tout-Puissant
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MessageSujet: Re: Anoen Validran   Anoen Validran Icon_m14Mer 8 Aoû - 15:57

*sort la bouteille de génépi et la tend à Anoen*

"Kampai!"

Bref, j'ai bien aimé ton histoire, elle est ... originale; ^^
Eh bien, que dire de plus, bienvenue et amuse-toi bien.
Fiche Validée.

Je te laisse aller poster dans Arrivée dans le monde des morts (après avoir lu le post-it associé)
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MessageSujet: Re: Anoen Validran   Anoen Validran Icon_m14

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